Fame Ndongo trainé en justice par sa femme ? Le Ministre sort de sa réserve et déballe tout !
Depuis quelques jours, des informations selon lesquelles
le Ministre de l’Enseignement Supérieur Fame Ndongo aurait été trainé en
justice par son épouse, ont fait le tour de la toile.
Face à ces polémiques qui ont pris une ampleur inattendue, le Pr Fame Ndongo a
tenu à rétablir la vérité.
A en croire le baron
du RDPC, ces informations ne sont que balivernes et affabulations.
‘’ Mme Fame Ndongo Louise digne épouse du ministre, n’a jamais saisi la justice
contre son époux ‘’ soutient-il mordicus dans une tribune faite ce jeudi 15
avril 2021.
Lecture :
Le couple Jacques
Fame Ndongo et Madame ne traverse ni une tempête conjugale, ni un séisme légal.
Il se porte plutôt bien.
Monsieur le Ministre d’Etat, Ministre de l’Enseignement Supérieur ne fait
l’objet d’aucune citation judiciaire ou de quelques convocations depuis un
prétoire de la République.
Bien plus, le couple mène une paisible vie sociale et professionnelle à la très
grande satisfaction du Président de la République qui continue de lui
renouveler sa Très Haute confiance qui s’origine dans son impérium régalien
approuvé par le peuple camerounais lors du scrutin présidentiel du 9 octobre
2018 (71.28 % de voix pour plus de 3.5 millions de votants), pour une nouvelle
mandature constitutionnelle de 7 ans renouvelables, car il est le candidat
statutaire du RDPC dans toutes les élections présidentielles.
Cette coupure d’un magazine judiciaire qui circule, sous le manteau et dans les
réseaux sociaux fait l’objet d’une exploitation tendancieuse et pernicieuse de
la part de certains internautes qui tentent de travestir l’actualité et
l’acuité d’un texte judiciaire régulier.
Mme Fame Ndongo Louise née Ndodo, digne épouse du ministre d’Etat depuis 21
ans, sans interruption, ni scènes obscènes de ménage, ni fugue schizophrénique
ou paranoïaque, n’a jamais saisi la justice contre son époux. Elle porte
encore, toujours et pour toujours, sur l’annulaire de sa main gauche, au teint
cuivré, la scintillante alliance des noces ministérielles du 7 mai 2000.
Le ministre d’Etat, au verbe séducteur et ravageur, en ce temps d’épiphanie
d’alors, avait jeté son dévolu sur cette muse de la tribu Batanga sur les bords
de l’Atlantique à Kribi, après cinq années de fiançailles fructueuses.
Le Chancelier des Ordres académiques avait décidé d’en faire une Reine dans son
village Nkolandom.
Cette interprétation, que tentent de faire certains foras, est erronée et
relève simplement de l’affabulation, de la délation et de la médisance. Les
auteurs de ces galimatias, dans une arrogance jupiterienne, se métamorphosent
en un diable vauvert. Cet esprit de panurgisme médiatique et de
politico-panurgisme public, qui caractérise certains confrères irresponsables
et espiègles, vise à jeter l’opprobre sur un haut commis l’Etat qui est aux
affaires depuis 1972, ça dure 49 ans en termes de coefficient qualitatif et d’érudition
quantitative. Ces réactions sibyllines et spécieuses sont suivies au curseur de
la loi de portée protectrice.
Leurs auteurs, bien identifiés, sont passibles d’interpellation et de
comparution devant les juridictions compétentes pour tentative de diffamation
et d’outrage avéré, avec élément matériel à charge : les phrases et
paraphrases, les textes et péri-textes qui entrelardent les pages numériques
des foras.
Madame Louise Ndodo épouse du ministre d’Etat, diplômée de droit et cadre de
société à Yaoundé, est une femme loyale, soumise, irréprochable et en sandales
dans un foyer sans scandales. Véritable cerbère autour de l’époux qui est un
homme public dont la vie privée consiste à être privée de vie au profit du
service public.
Le ministre d’Etat est le chef de village de Nkolandom depuis l’arrêté du
préfet de la Mvila, signé en 1999, il y a 22 ans. Il était alors le 1er
Recteur, à 48 ans, de l’université de Yaoundé 1, avec le grade académique de
professeur titulaire acquis en 1992, sur la même liste d’aptitude des plus
brillants d’universités avec le professeur Gervais Mendo Ze dans la même
discipline scientifique du CCIU (Commission consultative des institutions
universitaires au Cameroun qui est une instance organique, coiffée par le
ministre de l’enseignement supérieur en sa double qualité de Chancelier des
Ordres Académiques, chargée du recrutement, de la promotion et de la déchéance
des enseignants chercheurs.
Sa Majesté Jacques Fame Ndongo succédait, après une large consultation
coutumière et administrative, à son grand-père et homonyme, James Fame Ndongo.
Le dossier, en cours devant la juridiction a Yaoundé (compétence ratione loci),
est une action privée de demande « d’assignation en mutation judiciaire de
régime matrimonial ». Il s’agit d’une demande de rectification, d’amélioration
et d’évolution de l’acte matrimonial antérieur et son adaptation au
consentement mutuel et actuel des époux.
Un acte de droit n’est pas immuable ou statique, il n’est pas fait ne varietur,
pour emprunter à un latinisme croustillant du barreau grec.
Cet acte judiciaire a été fait d’un commun accord ou d’accord-parties, entre
les deux conjoints qui préparent les noces d’argent (25 ans de mariage) du 7
mai 2025, à Nkolandom.