Scandale 1XBET : Le jeune parieur qui a gagné les 14 milliards brise le silence ! ‘’ Ils ont dit que mon compte n’existait pas ‘’

C’est l’affaire qui fait actuellement le buzz sur la toile camerounaise. Il s’agit du scandale relatif à l’entreprise internationale de pari sportif 1XBET, suite aux déclarations de deux jeunes hommes qui prétendent avoir gagné la somme de près de 13millards 600 millions de FCFA.
Que s’est-il réellement passé ? Les principaux concernés sont sortis de leur réserve.

 

Pour en venir aux faits, les deux jeunes parieurs disent avoir combiné 31 matchs de football sur une période d’un mois. Tous les évènements choisis ont marqué « gagné » à la date du 28 novembre 2021, après les trois dernières combinaisons restantes sur le ticket.

Alors, c’est donc tout naturellement que les deux jeunes nouveaux milliardaires vont se présenter à la direction générale de l'entreprise 1XBET de Yaoundé, Avenue Kennedy, question de rentrer en possession de leur gain. Seulement, grande sera la surprise des jeunes parieurs quand un manager de l’entreprise leur fera comprendre que leur compte parieur sur lequel la combinaison gagnante a été placée n’a jamais existé.

Un autre manager informera les gagnants que ses supérieurs hiérarchiques ont refusé d’accepter le paiement des sommes gagnées, sous prétexte que le montant est bien trop élevé.

Toutefois, les dernières informations recueillies permettent d’affirmer que le montant 400 millions de FCFA, annoncé sur les réseaux sociaux, comme étant la somme prétendument avancée aux deux jeunes parieurs n’a jamais existé.

Au regard de cette situation devenue kafkaïenne, les deux jeunes gagnants, face à l’influenceur Steve Fah, ont témoigné, chacun, à visage masqué, jurant ne pas lâcher prise, tout en espérant une issue heureuse à la fin.

S’agit-il manifestement d’une tromperie ou d’un simple bug de la plateforme ? Difficile pour l’heure de répondre.

L’entreprise 1XBET, au moment où mettons cette brève en ligne, ne s’est pas encore prononcée officiellement sur la question.

Nous y reviendrons…