Elections Fecafoot : Après la double nationalité, voici le prochain plan prévu pour bloquer Samuel Eto’o !

 

L’ex-international camerounais, la légende mondiale du football a officiellement déclaré sa candidature à la tête de la Fédération Camerounaise de football.
Toutefois, son projet se heurte déjà à un certain nombre de conditions pour accéder au poste, dont la double nationalité. Dans un article paru dans les colonnes de nos confrères de Jeune Afrique, on évoque toute une cabale ourdie par les caciques de la fédération, pour barrer la route à Samuel Eto’o.

Il semblerait que le Grand 9 ne compte pas que des amis au sein de la Fecafoot. En effet, à peine annoncée, la candidature de Samuel Eto’o suscite déjà de vives revendications.
En effet, sa demande a failli bien être rejetée
avec une loi selon laquelle les binationaux n’étaient pas éligibles à la présidence de la Fecafoot.

Alors, beaucoup y voient une volonté manifeste des personnes tapis dans l’ombre pour écarter Samuel Eto’o, dont sa candidature au poste de président de l'instance faitière du football camerounais, serait en gestation. Lui detenteur d’un passeport espagnol obtenu lorsqu’il jouait pour le FC Barcelone.

Face au vent de protestations, la Commission électorale n’a pas eu le choix que de sursoir à la loi envisagée pour interdire aux citoyens jouissant d’une double nationalité d’être candidat.

La candidature de Samuel Eto’o, le 7 septembre dernier, a été retenue au poste de délégué du département de la Sanaga Maritime.

L’ancien international camerounais a ainsi fait un pas de plus vers la course à la présidence de la fédération.

L’inévitable affrontement avec Seidou Mbombo Njoya

Mais une autre mesure pourrait empêcher Samuel Eto’o de se lancer dans la course à la présidence de la Fecafoot, croit savoir Jeune Afrique dans un article publié sur son site ce 15 septembre.

Dans les couloirs de la fédération bruisse en effet l’idée d’exiger que les candidats aient résidé de manière permanente sur le territoire camerounais pendant au moins une année avant l’élection. Seidou Mbombo Njoya adoptera-t-il une telle mesure, qui lui ouvrirait une voie royale pour rempiler ? S’interroge l’hebdomadaire panafricain.