Depuis sa cellule de prison : Sidiki Diabaté clame son innocence

Depuis sa cellule de prison Sidiki Diabaté clame son innocence. L'artiste malien au bout du rouleau s'exprime sur sa situation. Après quelques nuits passées en prison, Sidiki Diabaté a donné de ses nouvelles. En attendant de connaître la suite de cette histoire troublante pour la famille Diabaté, l'artiste malien a réaffirmé son innocence à travers son message publié sur les réseaux sociaux.



Depuis quelques jours, la famille Diabaté n'est plus à l'abri des attaques verbales des internautes. Sidiki Diabaté est en pleine descente aux enfers depuis que son ex-compagne a décidé de le traîner en justice pour violences conjugales et séquestration. Même si l'affaire s'annonce moins favorable pour lui, l'artiste malien n'a pas hésité à réitéré son innocence depuis sa cellule.



Le prince de la Kora s'est adressé à ses fans depuis la prison. Il évoque toujours son innocence et estime que toute cette histoire n'est qu'un coup monté dont Mamasita Sow serait la première victime. Raison pour laquelle, il demande aux fans de ne pas s'en prendre à cette dernière.



« Je mets toute cette histoire dans la main de Dieu car lui seule pourra me blanchir. Et je demande à tous mes fans de ne ressentir aucune haine aucun mal contre Mamasita, cette fille en temps normal ne souhaiterai jamais me faire du mal 7ans de relations nous avons partagé les meilleurs moments et aussi des dures périodes.elle a été manipulée car la femme est fragile, montée contre moi pour me nuire et briser ma carrière », a écrit Sidiki Diabaté.

Lire aussi : Urgent : des nouvelles de la mère de l'artiste Sidiki Diabaté

Et d'ajouter : « J’ai toujours été un artiste qui prône le pardon, l’amour et la paix autour de moi alors je ne veux qu’aucun mal soit fait à Mamasita a cause de moi. Je m’en sortirai j’ai confiance en la justice,j’ai confiance aux bénédictions de mes parents et de mes fans. Je reste toujours le Vladimir Poutine de la musique. Je vous aime tous SIDIKI Toumani Diabaté depuis ma cellule de la maison centrale d’arrêt.»



Notons que cette affaire a pris de l'ampleur après l'apparition sur les réseaux sociaux, des photos montrant des signes de violences physiques sur le corps d’une jeune femme identifiée comme Mariam Sow.